Comment mes amis on fait de moi Julie une salope mon troisième et quatrième jour

Ceci est une histoire vraie, je suis Julie j’ai presque 19 ans et lors d’une soirée beaucoup trop arrosée mes amis vont faire de moi une salope, à travers divers jeux de plus en plus coquins et obscènes voici la suite le troisième et quatrième jour.

Ceci est une histoire vraie, je suis Julie j’ai presque 19 ans, et lors d’une soirée beaucoup trop arrosée mes amis vont faire de moi une salope, à travers divers jeux de plus en plus coquins et obscènes, voici la suite, le troisième et quatrième jour.

Nous sommes donc lundi matin, il est 7h30 et je m’apprête à partir au lycée, je suis réveillée et donc prête depuis quelques heures maintenant, je pense déjà à ma soirée, au sort qu’on me réserve.
A huit heure j’arrive au lycée, je suis redevenue la fille timide, aux yeux de tous ceux qui ignorent mon week-end.
Les cours ce passent normalement, c’est long et je m’ennuie, mon esprit divague. A 11h30 mon téléphone vibre, je regarde c’est Cindy qui m’envoie un SMS :
– Bonjour salope, bien remise de tes émotions ?
– N’oublie pas d’être à l’heure ce soir !
Un petit sourire aux lèvres je range mon téléphone dans ma poche. La matinée se passe, le midi, repas à la cantine avec quelques échanges de SMS avec certains du groupe qui me félicite. Fin de journée, je monte en voiture, il est 17h30 et je roule en direction de chez Célia et Julien.
Moins de quinze minutes plus tard, je me gare sur leur terrain, il n’y a pas la voiture de Cindy et Sulli, ni celle de Jean, par contre Benjamin et Arnaud sont la. Et il y a une voiture que je ne connais pas. J’envoie un texto à Célia :
– Je peux pas faire le gage, il y a du monde chez toi !
Réponse de Célia :
– Si tu devrais pas rentrer à poil, je t’aurais prévenue, je t’ai rien dit, tu respectes tes engagements, et tu rentre entièrement nue comme une bonne salope, dépêche toi !
Je m’avance vers la porte d’entrée et je m’arrête devant, je commence par défaire mes lacets, et enlever mes baskets, je retire en même temps mon pantalon et ma culotte. Je respire un grand coup, puis je vire mon maillot et mon soutif, me voilà toute nue, je frappe à la porte :
– Vas y entre salope !
J’ouvre la porte doucement, puis j’avance dans le couloir. Personne ne peut encore me voir, et je ne vois pas non plus qui il y a, à qui appartient cette voiture?
Mon cœur bat à cent à l’heure, les secondes passent, et me présenter nue devant une ou des personnes, sans savoir qui ça peut être me terrifie, mes amis s’impatientent :
– Fais pas ta timide salope, viens donc montrer ta salle chatte poilue, et pour ceux qui ont une bonne, très bonne vue tes petits nichons !
J’avance timidement en me présentant nue sans même me cacher dans le salon. Un coup d’œil puis un deuxième plus attentif, soulagement, que des visages connus dont celui de Jean qui se lève immédiatement pour venir me saisir mon sexe a pleine main :
– Tu mouilles pas salope, tu avais peur de te montrer ?
– C’est ma deuxième voiture, Haha !
Célia :
– Mick ne pourras pas venir ce soir.
Arnaud en s’adressant à moi :
– Tu as bouffer un peu de bitte aujourd’hui ?
Je répond pas, mais fais non d’un signe de tête, quand Cindy et Sulli se garent, ils rentrent dans le salon et Cindy rigole en me voyant :
– La petite salope, toujours à poil !
Moi :
– Toi aussi hier, tu as montré ta chatte !
Sulli surpris :
– Hein ?
Cindy :
– Oui c’est bon, c’était juste pour lui faire bouffer mon string à cette pute, toi tu lui as bien bouffer sa chatte !
Jean :
– Elle aussi, elle t’as bouffer ta chatte Cindy !
Éclats de rire général , alors que Cindy fouille dans son sac et me tend une enveloppe avec écrit dessus salope :
– Tiens c’est pour toi !
J’ouvre l’enveloppe , je déplie le papier et commence à lire :
– Je suis Julie la salope, j’ai un corps sans forme légèrement musclée car plus jeune j’ai fait de la natation en compétition, aujourd’hui je nage juste pour le plaisir. (Tout comme vous, je découvre le texte écrit par Cindy au fur à mesure que je le lis, même si il me concerne….). Je me rend d’ailleurs depuis l’année dernière à la piscine tous les mardi soir pour faire quelques longueurs, accompagnée de deux garçons de ma classe, Matt et Damien qui eux s’entraînent dur et y vont deux fois par semaine. J’ai un maillot deux pièces avec shorts et brassière très sage genre maillot compétition, mais cette fois je ne le porterais pas. Je porterais car je suis une belle salope, mon maillot qui reste en permanence chez Célia, le blanc que je portais samedi, avant toutes choses, je passerais me faire entretenir ma chatte par Cindy, pour qu’elle soit mise en valeur pour demain. Votre gage a été présenté par Julie la salope bouffeuse de bite !
Benjamin et Arnaud se plaignent :
– On sera pas la, nous demain !
Sulli :
– Ouais, moi non plus !
Cindy à son homme :
– Je sais mon cœur….
Célia :
– Cindy moi et Jean, on t’accompagnera !
Jean :
– Bien entendu, je veux voir comment se comporte notre salope avec les mecs de sa classe !
Moi :
– Le gage c’est juste porter le maillot et me faire raser, je fais rien d’autres, pas avec eux ?
Cindy :
– Oui c’est ce qu’il y a d’écrit !
Je suis pas fière de devoir porter mon maillot de plage devant eux, c’est deux beaux garçons costauds, alors que moi, déjà les premières fois j’étais intimidée de me montrer sans ma serviette autour de moi, malgré que je portais un maillot de bain très sage. Mais la, je dois avouer, que je suis soulagée de devoir être épilée , même si j’ai peur d’être un peu, torturée, au moins les poils dépasseront pas de ma culotte.
Cindy sort tout son nécessaire, de la cire que Célia part faire chauffer au micro onde, et des bandes ainsi qu’un petit ciseau de poche.
Cindy a moi :
– En place, mets toi sur la table et ouvre tes cuisses !
Je monte sur la table, je m’allonge et ouvre mes jambes, légèrement tremblante.
Cindy :
– Qu’elle touffe, c’est abuser, tu as pas honte quand même chienne ?
Elle commence par me couper des poils, puis elle étale la cire chaude autour de mon vagin, elle tire quelques bandes, faut avouer qu’elle c’est y faire et s’applique, je ressens pratiquement rien. Elle remet un peu de cire, et recommence l’opération, même pas cinq minutes, et elle me dit :
– C’est fini !
Moi en me relevant pour voir le résultat :
– Tu rigoles, tu as pas fini, tu as rien enlevé !
Cindy :
– Si j’ai enlevé !
Moi :
– Tu as juste fait le tour de mon sexe, pas le maillot, rien !
J’ai deux ou trois centimètres tous le tour du sexe complètement épilé, et un peu plus haut les poils légèrement coupés, plus on s’éloigne de mon sexe, plus c’est poilu.
Cindy :
– Parle pas sans savoir, j’ai pas enlevé que le tour de ta chatte !
Moi :
– Tu as enlever quoi alors ?
Cindy :
– Tu veux savoir ce que j’ai enlevé, tu as pas encore compris ?
Moi étonnée :
– Non…
Cindy :
– Je t’ai aussi enlevé la doublure de ton slip de bain blanc, pour qu’une fois mouillé, tout le monde voit bien ta grosse chatte !
Moi :
– Non c’est pas vrai !
Célia :
– Bien sur que si !
Benjamin déçu :
– Quand je pense qu’on va rater ça…
Moi :
– Et pourquoi tu as pas tout rasé alors ?
Cindy :
– Pour que tu ais ta belle touffe qui dépasse du maillot, depuis le temps que tu dois la laisser pousser, ça serait dommage de ne pas la mettre en valeur !
– Et j’ai aussi enlevé la ficelle du coup, qui faisait le tour sur ton haut, avec une grosse poitrine comme la tienne, ça devrait rester en place !
Célia :
– On vas faire un essai, vas mettre ton maillot et reviens, il est dans la salle de bain !
Je part seule dans la salle de bain, et en profite pour observer mon sexe, C’est vraiment très moche , j’ai toujours la longueur et l’épaisseur en haut et sur les côtés, plus on avance vers le sexe, plus c’est taillé cour, elle a fait un dégradé pour finir complètement lisse autour de mon sexe. Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas vu mes lèvres comme ça. J’enfile mon maillot de bain, le bas, effectivement la doublure a été soigneusement décousu, je prends le soutif et je vois qu’elles ce sont aussi attaquées à la doublure, enlevant par la même occasion la petite épaisseur de mousse, ça a l’air très fin. Je l’enfile, fait le nœud du dos, et cherche bêtement la ficelle qui fait le tour du coup avant de me rappeler qu’elle a été coupée. Je reviens vers le groupe qui est dehors.
Cindy :
– Ça fait bizarre de la voir habillée !
Julien :
– J’avais raison, regardez, les poils dépassent de chaque côtés !
Jean :
– Prête pour le test ?
Moi interloquée :
– Euuuuu, ouais…
A ce moment, Arnaud et Benjamin me lancent en même temps chacun un grand sceau d’eau.
Cindy a la vue de ma poitrine découverte :
– Impeccable le haut ne tient pas !
Célia :
– Et le bas est bien transparent, regardez comment on voit bien sa fente, la forme de ces lèvres, c’est parfait !
Sulli :
– Oui c’est vrai, il faut dire que Cindy a fait du bon boulot !
Benjamin :
-Oui vraiment parfait !
Cindy :
– L’idée de départ m’a été un peu inspirée par mon chéri, et qu’elle super idée !
Julien :
– Qui sait, dans le futur ce sera peut être à la mode, Ahah !
Crise de rire général, avec encore quelques remarques en tous genre, et nous allons nous asseoir dans le salon de jardin, ou des bières nous attendent.
Benjamin :
– Qu’est ce que tu fou encore habillée salope, c’était juste un essayage !
Célia :
– Ah oui c’est vrai ça !
Julien :
– Ça mérite un gage !
Moi en me déshabillant :
– C’est bon regarde, j’enlève !
Jean en venant vers moi :
– Tu veux pas de gage salope ?
Il porte sa main sur ma chatte, et commence à me titiller mon clito, avec deux doigts experts, je ne résiste pas longtemps, avant de me laisser aller.
Il arrête et renchéri :
– Tu veux jouir salope ?
Moi encore toute émoustillée :
– Ouiiiii !
Jean :
– Alors dis, je veux un gage !
Moi tout doucement du bout des lèvres :
– Je veut un gage…
Jean :
– Vas montrer ta chatte à Gérard, et dit lui que ça te brûle, et qu’il doit pisser dessus pour te soulager !
Célia en me tendant son portable :
– Appel le !
Je prends le téléphone dans les mains, j’ai juste à appuyer sur appeler, c’est tout prêt.
Moi après trois sonneries :
– Allô , bonjour Gérard, non c’est Julie… Oui….
Je lui explique vite fait et timidement.
Célia :
– Alors salope ?
Moi :
– Il arrive.
– Quelques minutes plus tard, Gérard est la, il dit bonjour à tous le monde avant de se diriger vers moi :
– Bonjour petite salope, on s’embrasse !
Moi :
– Non, non…
Gérard :
– Ah bon, pourquoi ?
Célia :
– Oui, pourquoi ?
Je reste sans réponse, pour pas vexer Gérard.
Gérard :
– Vu que c’est toi qui m’a appelé, je pensais que tu avais envie !
Arnaud :
– Envie je sais pas, besoin c’est sur !
Gérard :
– C’est à dire, ah, ok, c’est son nouveau gage !
Cindy :
– Oui, c’est ça !
Gérard :
– Et si je refuse, il ce passe quoi ?
Cindy :
– Sanction pour Julie c’est sur !
Jean :
– Oui grosse sanction, surtout que si elle a un autre gage, c’est qu’elle a pas respecté les règles d’un gage déjà en cours !
Gérard avec un sourire mesquin :
– Alors je refuse !
Moi :
– Non, attend !
Gérard :
– Ah tu t’es décidée à m’embrasser !
Je me rapproche de lui sans rien dire, et pose délicatement mes lèvres sur les siennes :
– Voilà !
Gérard :
– C’est tout, et la langue alors !
Je me rapproche une nouvelle fois, résignée, et au moment de faire toucher mes lèvres, je sort ma langue pour la plonger dans sa bouche. Il en fait autant et nos langues s’emmêlent, il me serre fort en m’empoignant les fesses, je suis blottie contre lui.
Gérard :
– Tu veux que je te pisse dessus alors ?
Moi en regardant mes amis très attentifs :
– D’accord, allons y !
Gérard en s’adressant aux autres :
– Vous la rasez quand alors ?
Cindy morte de rire :
– C’est déjà fait !
– Salope, montre lui ta chatte comme il faut !
Je m’exécute, et j’écarte mes cuisses pour lui laisser admirer mon sexe.
Gérard :
– Putain c’est quoi cette coupe, c’est à la mode ça aujourd’hui ?
Tout le monde rigole à la réaction de Gérard, même moi ,malgré la situation je lâche un léger ricanement.
Gérard :
– A mon époque, c’était bien poilue, partout, je sais qu’aujourd’hui certaine rase tout, ou laisse juste le ticket de métro, mais ça je connaissais pas !
Il déboutonne son pantalon, et le baisse difficilement, il retire son t-shirt de la même façon, puis il s’assoit pour finir d’enlever son pantalon, il est en slip devant moi, il se rapproche et me prend dans ces bras avant de plonger sa langue dans ma bouche, il n’arrête pas de tourner, aller dans les coins, plus profond. Je suis blottie contre son gros ventre, et la situation commence sérieusement à m’exciter. Il se rapproche de mon oreille et commence à la lécher, à me mordiller le lobe avant de me chuchoter que je vais me mettre à genoux et lui faire une bonne pipe, et que je peux pas m’enlever, comme samedi ou il refusera de me pisser dessus ce qui entraînera une sanction. Je descend mon visage à la hauteur de son slip, et de la main droite je lui attrape les bourses, je le caresse calmement alors que je sens sa bite mole à travers son slip, je le descend pour découvrir, de jour, ce petit sexe tout rabougri , je passe délicatement ma langue dessus, plusieurs fois. Il bande toujours pas, avec deux doigts il se décalotte, pour que je lui lèche le gland.
Cindy :
– Elle fait ça bien la salope, va y suce le bien, prends le en bouche !
J’attrape du bout des lèvres sa bite mole, et je commence à le sucer, quand Célia s’approche de Gérard pour lui parler à l’oreille. Quelques secondes après, Gérard me dit de ne plus bouger, et de bien le garder en bouche, sans quoi il me pisserais pas dessus.
Je sers délicatement les lèvres pour éviter que son sexe ressorte, quand je sens un liquide chaud et amer couler en moi.
Gérard :
– Vas y suce moi !
Je commence des vas et viens, alors qu’encore une fois ça coule au fond de ma gorge, Gérard s’amuse à m’envoyer des giclées d’urine, il fait ça plusieurs fois , je reste concentré et continue de le sucer, alors que je ne peux empêcher l’urine de ressortir de ma bouche et de couler sur mon menton. Il n’y en as pas eu beaucoup en tout, trois bref giclées. Je le sens commencer à durcir en moi, pas très dur, mais mieux que samedi quand même, il est plus en forme là. Je continue de le sucer en m’accrochant a ces fesses, je le sens très proche de l’orgasme, sa bitte a carrément gonflée, et elle est pratiquent dure, faut dire que j’y met du cœur, jusqu’à ce que le moment fatidique arrive, une bonne et vraie giclée de sperme, que je m’apprête à recracher, me voyant faire il appuie ma tête contre son ventre en me disant de tout avaler. Après quelques secondes, il se retire et me dit :
– Merci ma pute, c’était bien bon, tu as bien avalée, ouvre ta bouche !
Je le fait timidement sachant déjà ce qu’il aller me dire.
Gérard :
– Tu as pas tout avalé, avale, chienne !
Je ferme les yeux et avale bruyamment.
Cindy :
-Voilà bonne salope, t’aime ça le foutre !
Benjamin :
– Allez Gérard, arrose la !
Gérard :
– En place pute !
Je m’allonge et j’écarte mes jambes pour le laisser faire. Il rigole encore une fois en admirant ma chatte, il se tien le sexe et commence à me pisser directement dessus, ce liquide chaud me fait un bien fou, il coule directement sur mon petit bouton et j’écarte instinctivement avec mes deux mains mon vagin, pour qu’il puisse bien viser mon clito. Une fois fini, il égoutte son sexe au dessus de mon visage.
Cindy :
– Regardez moi cette pute en manque, on lui pisse dessus et elle, elle se branle !
Je ne peux pas m’en empêcher, je frotte mon clito intensément, alors que Cindy rejoins par Célia continuent à m’invectiver :
– Vas y salle pute, fait toi jouir !
– Allez salope !
– Vas y plus fort !
Julien est la, lui aussi à me photographier, quand Jean arrive et m’enlève ma main :
– Plaisir solitaire interdit, tourne toi !
Je fais ce qu’il me demande s’en broncher, une fois tournée, il m’attrape par la taille et m’inflige une sérieuse fessée, rien à voir avec ce que j’ai déjà reçu, les coups sont rapides, puissant et pas du tout espacé, je reçois deux séries d’environ dix fessées sur chaque fesses, avant qu’il rajoute :
– La prochaine fois ce sera pire salope !
Je redescend sur terre, je suis toujours nue au milieu de mes amis, j’ai les fesses bien rouges, bien que très proche de le faire, j’ai pas jouis, et je sens l’urine, j’ai besoin d’aller me doucher, alors comme une bonne chienne je demande la permission a Célia d’utiliser sa douche. Elle accepte à la condition que je m’y rende à quatre pattes, j’obéis et me dirige dans cette position vers la maison.
Cindy :
– Il lui manque que la laisse, à cette chienne !
Benjamin :
– En tous cas, elle a bien le cul assez poilu !
Jean :
– Tortille ton cul en avançant salope !
Arnaud :
– La petite chienne fait sa promenade !
Gérard :
– Qu’elle fasse ses besoins, la chienne !
Jean :
– Tu as entendu, pisse salope !
Je m’arrête puis je m’accroupis.
Cindy :
– Tourne toi, fait ça en fasse de nous, sale chienne !
Jean :
– Fait ça à quatre pattes comme une chienne, salope !
Je me remet à quatre pattes, et commence à uriner, sa coule le long de mes cuisses quand Arnaud m’interpelle :
– Lève une jambe pour pisser, comme un clébard !
Jean viens vers moi et me caresse la tête, quelques secondes plus tard alors que j’ai fini de pisser, il rapproche son visage du mien, je me perd dans son regard. Il me chuchote tout doucement qu’il est très fière de moi, que je progresse très vite. Il se rapproche un peu plus, sa bouche est à dix centimètres de la mienne. La température monte de mon côté, je sens son souffle chaud, nous sommes tous les deux immobile et observé par le groupe, quand il reprend la parole, toujours en chuchotant….
– Tu es vraiment une vraie salope, c’est bien , c’est très bien même, tu es parfaite, tu veux continuer à jouer la salope ?
Ses lèvres sont maintenant à trois ou quatre centimètres des miennes, très proche, j’ai envie de poser mes lèvres sur les siennes, qu’il me prenne dans ces bras et m’embrasse avant de me prendre ici, devant tous.
Jean :
– Répond, tu veux continuer à jouer la salope ?
Moi en chuchotant encore plus doucement que lui :
– Oui…
Jean :
– Oui quoi ?
Moi :
– Oui, je veux être une salope !
Jean :
– Une chienne ?
Moi :
– Oui…
Il fronce les sourcils.
Moi :
– Oui, je veux être une chienne !
Jean :
– Une pute qui obéit ?
Moi :
– Oui, je suis une pute qui obéit !
Jean se recule légèrement de mon visage, il sourit :
– Ouais t’es une pute !
Il m’attrape un téton avec ces doigts et tire très fort dessus, ce qui me rapproche de lui entraînée par son geste, il me le tient fermement, je ne bouge plus, et la, il me crache dessus, une fois puis deux. Il se relève, me caresse une nouvelle fois la tête et m’ordonne d’un ton très sec de me rouler par terre , comme une chienne. Julien me prend en photo, alors que je suis sur le dos avec les bras et les jambes en l’air comme un chien, je me roule dans l’herbe toute mouillée de mon urine.
Jean :
– C’est bon salope, je suis très fier de toi, et tu as gagné le droit de jouir, tu peux te branler maintenant !
Je me place face au petit groupe qui m’encourage, et je fini par jouir après quelques caresses bien amenées. Je me lève, regarde Célia, elle m’autorise à aller me laver. Je suis sous la douche et je repense a tout ça, à ce que je suis devenue en trois jours, moi Julie, la fille si sage. Ils ont réveillé la bête en moi, je ne pense plus qu’à ça. Tout un coup, je remarque, que sans m’en rendre compte, je suis entrain de me caresser, moins de dix minutes après avoir joui. Je m’arrête et continue de me laver, ceci fait, je rejoins le groupe toujours toute nue, et on m’invite a prendre une bière, on me félicite encore une fois, on me dit que j’ai raison de me laisser aller, on m’encourage, on trinque, Julien prend des photos de tous, je pose naturellement avec mes amis, en oubliant complètement ma nudité, comme si c’était normal, naturel, Sulli, lui prend l’appareil pour que Julien puisse poser avec nous, la soirée ce finit comme si rien ne c’était passé. Il est 20h30, je vais sur le pas de la porte récupérer mes fringues, j’enfile mes baskets et prends le reste sous le bras en me dirigeant vers mes amis pour leur souhaiter une bonne fin de soirée, le plus naturellement du monde je fait la bise a tous le monde, quand j’arrive a Gérard, celui ci me remercie encore en me complimentant. Je m’approche de lui pour lui faire la bise, il me tend la joue poliment, et moi je tourne la tête d’un coup pour lui mettre un coup de langue sur ses lèvres. Il sourit, je plonge alors ma langue dans sa bouche et l’embrasse en me tortillant, alors que les autres m’applaudissent, je rejoins ma voiture entièrement nue, j’ouvre le coffre et je mets mes vêtements dedans, je le ferme et sous les applaudissement de tous qui ce sont levés, je monte en voiture et démarre en faisant un petit coucou par la fenêtre. J’arrive en bas du terrain, vers le portail, eux ne peuvent plus me voir , ils sont cachés par une haie, je sort pour ouvrir le portail, et j’hésite à aller prendre mes vêtements dans le coffre, quand je me retourne, je les vois tous à me regarder, ils ce sont déplacés pour pouvoir me voir, surveiller si je me rhabille. J’ouvre le portail remonte en voiture et je sort du terrain, je recommence mon manège pour le refermer, et je me dirige vers le coffre, je l’ouvre , je les entends siffler , huer. Je prends juste mes sous vêtements et referme mon coffre. En retournant vers le volant, je me stoppe devant leur portail et je jette mes sous-vêtements dans le terrain. Je me réinstalle au volant entièrement nue, une fois démarré, je ne les vois plus, leur terrain est trop caché, je roule environ 800m puis je me gare sur le bas côté. Je sort et je m’habille avant de prendre la route de chez moi. De retour à mon garage, être ici m’excite beaucoup maintenant. Je sort et je suis sur le chemin du retour, je repasse par le parc, et j’arrive pas à penser à autre chose qu’au fait que je l’ai traversé toute nue, que l’on ma klaxonné en me voyant alors que je traversai la route toute nue avec un portable dans le cul, je n’arrive pas à penser à autre chose, je sens que je commence déjà à mouiller. Je me concentre sur le frottement de mon jean sur ma peau nue, je repense à cette folle traversée, je repense à ces trois pauvres mec à qui je me suis à moitiés offerte, je repense aux spermes que j’ai eu dans ma bouche, à sont goût sucré, je repense à tout ça en passant de temps en temps ma main sur ma chatte bouillante, je me surprend aussi à m’attraper un téton par dessus mon t-shirt et à le pincer légèrement, puis un peu plus, quand tout un coup on m’interpelle :
– Hé !
Je me retourne.
– C’est toi la fille d’hier ?
J’y crois pas, les trois mecs, je suis devant eux. J’arrêterais pas de penser à cette folie, repenser à mon plaisir du moment, même repenser intensément à ces trois types, pourtant pas une seule seconde j’ai pensé qu’il pouvait encore être là. Je les regarde sans rien dire, mais je ne bouge pas.
Le vieux :
– Tu es toute seule ce soir, tes amis ne sont pas là ?
Moi :
– Non je rentrais chez moi…
Le pantalon militaire :
– Toi tu portes pas de soutif ça ce voit !
Moi timidement :
– Non j’en ai pas ….
Le vieux :
– Tu veux pas te foutre à poil ?
Moi :
– Je suis un peu pressée….
Le barbu :
– T’inquiètes pas, viens juste nous branler comme hier, c’est tout, allez vite fait s’il te plaît je te jure c’était trop bien !
Je m’approche d’eux en enlevant mon t-shirt puis mon jean, je le fais machinalement comme si c’était un nouveau gage. Eux de leur côtés sont déjà tous les deux la bite à l’air, alors que le vieux viens se placer derrière moi et me dit :
– Remets toi à genoux comme hier, les cuisses écartées, c’était bien pour te doigter !
J’obéis et je me met à genoux, j’attrape comme hier ces deux bites qui bandent déjà, je les masturbe délicatement, quand le barbu me demande de lui caresser les couilles, je le fais mais je perd ainsi le contrôle de son sexe, qui vient se frotter sur mon visage. Le vieux lui me masturbe très profond, je le sens forcer et essayer de rentrer le plus profond possible en moi avec ces doigts. Le pantalon militaire en voyant le manège de son copain me demande en même temps qu’il attrape ma main, de lui caresser aussi les boules, ma main déjà mise dessus par ces soins, je m’exécute à les lui masser, alors que le pénis de son copain vient à plusieurs fois me toucher mes lèvres. Le pantalon militaire de la même façon que son ami me touche le visage avec sa bite alors que je malaxe ces deux paires de couilles, de plus en plus leur phallus tape ma bouche, je me tortille et commence sans pouvoir faire autrement à respirer la bouche ouverte sous les caresses du vieux. A plusieurs reprise je me recule, pour faire ressortir leurs fraises à moitié rentré dans ma bouche, ils continuent de jouer en me passant leurs sexes sur le visage, et toujours près de ma bouche, je me recule d’un coup sec et dit stop d’un ton ferme. Ils s’arrêtent et s’excusent du bout des lèvres. Ils me demandent de bien vouloir finir de les branler et c’est tout. Je regarde ces deux bites, mes mains remonte jusqu’à les attraper toutes les deux. Je les tiens en main fermement, je me replace sur mes genoux, et en effectuant ce mouvement je gobe d’un seul coup le sexe du barbus, j’en pouvais plus. Je le suce très profondément, le plus profond possible, je reconnais son sperme, son petit goût sucré que j’ai déjà goûté hier par surprise, je change de queue et suce à présent sont copain, je passe de queue en queue, je suce presque à m’étouffer, le goût de ces deux bites s’entremêle dans ma bouche, jusqu’à ce que ils essayent de me pénétrer la bouche en même temps, je gobe leur deux glands tant bien que mal et essaye de sucer, c’est pas facile, mais le goût mélangé est exquis. Voyant mes difficultés à avaler ces deux queues en même temps, ils alternent leur place, jusqu’à ce que le barbu jouisse dans un long râle au plus profond de ma gorge, il tient ma tête dans cette position et je sens plusieurs giclées chaudes et puissantes taper le fond de ma gorge, j’avale d’un seul coup en le regardant dans les yeux comme une chienne abandonnée. Le vieux continue de me masturber, je suis trempée et j’attends la bouche ouverte que le pantalon militaire me donne à son tour ce que je mérite, et ça ne met pas longtemps à arriver. Il m’arrose le visage d’une belle giclée de sperme, avant d’enfoncer sa queue dans ma bouche et de finir de se vider. Je sens que je vais jouir, la situation et le vieux qui s’acharne a me branler de façon bestiale me rend folle, je continue de sucer cette bite qui ramolli doucement dans ma bouche remplie de sperme, le sien est lui aussi très sucré, mais acide, comme un petit goût de pamplemousse. Alors que je suis en plein orgasme, je serre les bourses en aspirant très fort pour espérer avoir encore une goutte.
Je me relève, je ramasse mes vêtements et je part toute nue sans me retourner, quelques mètres plus loin, j’enfile mon t-shirt, et continue encore jusqu’au bout de la rue déserte, les fesses à l’air, avant de m’arrêter pour remettre mon pantalon. Je prends la dernière rue avant d’arriver chez moi.
Dans la cage d’escalier je croise le voisin du dessous, le râleur, je lui souhaite une bonne soirée avec un grand sourire, c’est la meilleur attitude à avoir avec ce genre de personne, il me répond d’un bonsoir en bougonnant, mais quel vieux con. J’arrive dans mon appartement, et je met une pizza au four. Je vais dans ma salle de bain, pose mes deux mains sur le lavabo et relève la tête pour me regarder dans le miroir. J’ai toujours une belle traînée de sperme sur le visage, et je viens de saluer mon voisin en souriant bêtement, quelle cruche. Je ne veux pas m’afficher vers chez moi, ni au lycée, ni au travail comme ça, j’espère qu’il ne l’a pas vu. Je pars surveiller ma pizza et je mets de la musique, je me pose dans le canapé et j’enlève mes vêtements, je passe la main dans mes cheveux, sur mon visage, essuyant involontairement le sperme présent sur ma joue, je regarde ma main, et d’un petit coup de langue je lèche et goûte ce sperme, mais refroidi c’est moins agréable. Je me lève pour chercher ma pizza qui doit être prête, avant d’aller me doucher, je suis vraiment fatiguée et impatiente d’aller me coucher, je reçois un SMS de Célia :
– Salope, tu n’as pas pris ton maillot de bain, c’est moi qui te le donnerais demain à la piscine, interdit d’en prendre un de rechange !
Une fois dans mon lit je m’endors en repensant à tout ça, la main sur le sexe alors que j’ai commencé à me caresser, le sommeil l’emporte.

Je me réveille à 7h pas spécialement en avance. Je fais chauffer mon chocolat, et fini de me préparer en le buvant, on est mardi, il me faut mon sac de piscine, comment j’ai pu tout oublier même l’espace de dix minutes au réveil. Je m’habille de façon très classique et je pars au lycée jouer la petite fille sage.
La journée ce passe normalement, bien qu’un peu stressée, plus l’heure s’approchant. Le midi je suis seule à table à la cantine, perdu dans mes pensées, Matt ainsi que Damien viennent s’asseoir à côté de moi, et me demandent par habitude, voyant que je dis pas un mot en mangeant, si je viens à la piscine ce soir. Je répond que oui bien évidemment, comment je pourrais faire autrement.
Matt :
– Je demande, car nous on y va, mais ce soir c’est trempette, on a fait une compète ce week-end et on va y aller tranquille !
Moi :
– Ok pas de problème !
Je préférais même, car nager avec ce maillot, j’imagine déjà la galère, alors qu’au moins si on patauge, ça sera plus simple à gérer.
– Damien tu as pensé à me ramener ma carte de piscine ?
Damien :
– Oui, oui, je te donne ça de suite !
A ce moment mon téléphone sonne, c’est Célia. Je m’écarte de la table pour répondre, elle voulait juste me dire de l’attendre à 18h dans une cabine, nue avec mes fringues déjà rangées dans le casier, si je veux mon maillot. Je retourne à table quand je vois Damien septique :
– Julie, on peut te poser une question indiscrète ?
Moi surprise alors que je prenais une fourchette de purée :
– Euuh, oui bien sur !
Damien :
– Vas y toi, Matt !
Je m’attends au pire, de quoi sont ils au courant ?
Matt :
– Ok, ok, voilà, tu portes ton maillot de bain sur toi, là ?
Moi qui comprends pas vraiment :
– Euuuuh, non, bien sur que non !
Damien :
– Allez dit nous la vérité !
Moi :
– C’est la vérité, pourquoi vous me demandez ça ?
Damien :
– En mettant ta carte de piscine dans ton sac, j’ai voulu te faire une petite blague, pas de bon goût tu vas trouver, mais bon, c’était juste pour rire…
Moi :
– Oui, oui, ok, dit moi !
Damien :
– Je voulais te prendre ton maillot pour te faire flipper, mais tu l’as pas dans ton sac !
Moi qui fait semblant d’être surprise :
– Ah merde, tu es sur ?
Je fais mine de chercher dans mon sac :
– Merde je l’ai oublié !
Matt :
– Tu vas pas pouvoir venir alors ?
Comment je dois répondre à cette question, j’ai pourtant pas le choix, je dois y aller.
Moi :
– Euuh, si je vais venir….
Damien :
– Sans maillot, ahah !
Moi :
– T’es bête, je vais appeler une copine, qu’elle me le ramène…
Je pense m’en être pas mal sorti sur ce coup là, je suis assez fière, et on continue le repas en changeant de sujet.
On arrive à la fin de l »après midi, il est 17h30 et je me dirige vers ma voiture direction la piscine, j’y arrive vers moins dix, je vois que Matt et Damien sont pas encore arrivés, mais je ne vois pas la voiture de Célia, Cindy, ou Jean. J’appelle Célia, quand elle me répond qu’elle m’a donné les directives à suivre. Direction les vestiaires, ils sont mixtes avec des cabines individuelles, je me mets nue et je garde juste ma serviette autour de moi, je range mes affaires dans un casier, puis je me renferme dans ma cabine. Les minutes paraissent interminables, assise avec cette serviette, mon sexe est découvert, je le regarde et passe tendrement ma main dessus, je tire un peu sur mes poils sans trop savoir quoi penser quand j’entends la voie de Cindy :
– Tu es la Julie ?
Moi :
– Oui, ici, tu as mon maillot ?
Cindy :
– Non c’est pas moi qui l’ai !
Moi :
– C’est qui ?
Cindy :
– Célia !
Moi :
– D’accord et elle est ou, car là, je peux pas sortir !
Cindy :
– Que tu crois !
Moi :
– Non sérieux !
Cindy :
– Oui sérieux !
Moi :
– Elle est ou ?
Cindy :
– Je sais pas, demande à Jean !
Moi :
– Ok je vois, et il est ou Jean ?
Je la vois passer sa tête sous la cabine :
– Coucou salope, si tu veux savoir ou est Jean, donne moi tes clefs et ta serviette !
Je lui donne le tout en lui disant que c’est pas ce qui était prévu.
Cindy :
– Effectivement, mais fallait pas oublier ton maillot, répond encore une fois et tu restes à poil, je me casse !
Moi :
– Ok, c’est bon !
Cindy :
– Jean t’attend vers les douches !
Cindy sort de la cabine et je l’entend ouvrir mon casier, j’ouvre légèrement la porte de ma cabine pour regarder ou elle est partie, mais je ne la vois pas, je suis bloquée toute nue ici.
Cindy :
– Toujours la ?
Moi :
– Bah oui !
Cindy :
– Tu vas pas voir Jean ?
Moi :
– Donne moi au moins ma serviette !
Et là, elle repasse sa tête en dessous, et me tend la clef de mon casier qui se situe juste en face de ma cabine.
Cindy :
– Vas la chercher !
J’entrouvre légèrement la porte, il n’y a personne, je sors et essaye de mettre cette fichu clef qui rentre pas, quand j’entends Cindy éclater de rire :
– C’est pas la bonne clef, tu as la clef, trouve le casier !
Je retourne en hâte dans ma cabine, avec ces portes battantes et leur siège qui sert de verrou en se rabaissant pour fermer les deux portes en même temps, celle du côté cassier et celle de l’entrée. Mais en rentrant je me retrouve nez à nez avec un jeune homme qui me dévisage de la tête au pied, je ressors aussi vite, alors que je vois un groupe de trois retraités de dos, sans réfléchir je me faufile dans ma cabine dont la porte est rester ouverte, et une nouvelle fois je suis en face de cet inconnu entièrement dénudée. Je m’excuse sans donner une seule explication et surveille la porte entre ouverte que les vieux partent au bassin, chose faite. Je me précipite vers les casiers, ma clef porte le numéro 127, alors que mon cassier c’est le 234. Autant dire que ça doit être à l’autre bout, je marche vite en survolant les numéros, 142,138,131, je m’en rapproche alors que je vois Célia me photographier en rigolant pas discrètement, ce qui ne me rassure pas. Voilà, 127, j’ouvre le cassier et prends ce qu’il y a dedans, avant de rentrer dans la cabine d’en face heureusement vide. Pas de serviette, juste ma culotte rose pastels en coton, et ma brassière ornée de petite dentelle tout le tour.
Cindy :
– Vas voir Jean, ou baigne toi avec ton petit ensemble !
J’enfile ma culotte et mon soutif, et je sors en essayant d’avoir l’air le plus naturel possible. Je me dirige vers les douches, et là, je croise Matt et Damien qui sortent de leur vestiaire.
Matt très étonner :
– Tiens Julie, euuuuuh, tu n’aurais pas un souci ?
Moi ne sachant pas trop quoi répondre, en remarquant juste derrière eux Jean, qui me regarde en souriant, se marrant de la situation :
– Euuuuuh, non c’est juste, euuuuuh…
Je suis coupée par deux hommes d’environ trente ans qui passent à côté de nous en me regardant, l’un d’entre eux se retourne carrément pour me regarder en sous-vêtements.
Moi :
– Euuuuh, j’avais envie de faire pipi….
Damien :
– Et t’as pas eu le temps de t’habiller ?
Moi un peu gênée :
– Ça va, c’est comme un maillot, je vous rejoint dans deux minutes !
Damien :
– Pense à te changer, ahah !
Je fais mine de rentrer dans les toilettes, pour en ressortir une fois qu’ils ont rejoint le bassin. Je vais vers Jean, et lui demande mon maillot, alors que quatre autres personnes passent en me regardant.
Jean :
– Prends une douche et je te donne les clefs pour ton maillot !
Je plonge directement sous la douche, je lève la tête en me passant la main dans les cheveux, pour pouvoir ignorer les gens qui pourraient passer. Jean me donne les clefs et je file au cassier. Soulagement, mon maillot est dedans. Célia, Cindy, et Jean, m’ont rejoint alors que j’allais entrer dans une cabine.
Cindy :
– Change toi ici !
Un rapide coup d’œil à droite, puis un autre à gauche, personne, j’enlève mon soutif et je vais pour mettre le haut de mon maillot.
Jean :
– Enlève d’abord le bas, tu dois être nue avant de pouvoir te rhabiller !
J’enlève ma culotte et je suis entièrement nue devant eux, j’enfile mon maillot de bain en leur disant :
– C’est bon, j’ai réussi mon gage ?
Célia :
– Pour l’instant ça va !
Je les supplie du regard, en leur disant de rien faire devants Matt et Damien, qu’ils m’ont déjà vu en sous vêtement.
Cindy :
– En sous-vêtements, c’est rien ça, quand tu seras mouillée, avec ton maillot de pute, ils vont voir ta chatte avec sa coupe des années 2050 !
Je pars en direction des douches, mais je passe tous droit pour éviter de me mouiller. J’arrive vers le bassin et je cherche du regard, avant que Matt me fasse signe, je me dirige vers eux.
Damien :
– Tu as changé de maillot de bain, Julie ?
Moi :
– Oui, c’est ma copine qui me l’a ramené, elle n’as trouvé que celui la !
Matt :
– C’est joli, il te vas bien !
Évidemment il était encore sec et on voyait pas à travers. Je descend doucement dans l’eau, et me trempe jusqu’au cou, nous parlons un peu comme ça , sans rien faire, par moment, je sens la jambe de Matt effleurer la mienne, je ne sais pas si il s’en rend compte.
Damien :
– On va au hammam ?
Matt :
– Ouais, si tu veux !
Moi :
– J’ai pas trop envie…
Matt :
– Tu rigoles, tu nous saoul toujours pour y aller faire un tour !
Moi :
– Oui, mais a la fin !
Damien :
– On y retournera à la fin si tu veux, allez, action !
Ils sortent de l’eau en grimpant sur le rebord, ce qui m’a permis de mater quelques secondes ces beau fessiers, ils se retournent vers moi :
– Tu viens Julie ?
Moi :
– Oui j’arrive, je vous rejoins !
Damien :
– Ça as pas l’air d’aller aujourd’hui !
Il me tend sa main pour que je m’agrippe en insistant, et Matt en fait autant, ils me tiennent chacun une main fermement, puis sans peiner me soulèvent hors de l’eau. Dès que mon buste sort de l’eau, mon haut de maillot lui ne suis pas, j’ai la poitrine à l’air, alors qu’ils me tirent, les mains tenues, je ne peux intervenir. Je suis obligée de laisser exposer ma poitrine dénudée quelques secondes aux yeux de tous. Eux deux rigolent, et ce ne sont pas les seuls, je vois mes trois amis se marrer à quelques mètres de nous. Mon soutif est au niveau de mon nombril, je le remets en place.
Matt :
– Ahah, alors Julie, tu montres tes nénés !
Moi en rigolant jaune :
– Ouais, ouais….
Je les suis au hammam, ils marchent devant moi et n’ont sûrement pas vu mon bas de maillot, je rentre avec eux et m’installe. Nous sommes que tous les trois quand la porte s’ouvre, c’est Cindy :
– Tiens salut Julie, tu fais quoi là ?
Moi surprise qu’elle se la joue comme ça :
– Euuuh, bas, tu vois bien….
Cindy :
– Bonjour les gars, moi c’est Cindy, je suis une copine à Julie !
Matt et Damien :
– Enchanté !
Cindy s’adressant à moi :
– Il y a Jean et Célia aussi !
Moi :
– Ok, je passerais leur dire bonjour !
Elle sort comme elle est venue, fière d’elle, alors que j’ai surpris et surprend encore mes deux camarades à regarder ma poitrine qui pointe et qu’on devine sans problème malgré mes petites formes, et surtout à fixer mon entrejambe. Car bien que mes jambes soient fermées, ont devine sans problème ma touffe de poils, et en plus on en voit qu’ils dépassent,, enfin moi je les vois. Ça fait bien dix bonnes minutes que nous sommes ici et Damien se décide à sortir, nous le suivons et passons par les douches. A partir de la ça va être compliqué de le cacher me dis je à moi même. Je marche devant et pourtant je sens leurs regards sur mon postérieur, vu que j’ai plus de doublure, j’imagine que le derrière doit être pareil. Je me lave rapidement en frottant avec mes mains en essayant en même temps de me cacher, apparemment c’est peine perdue.
Damien :
– Julie, je peux te dire un truc indiscret ?
Moi sentant venir le truc :
– Eeuh, oui, ok !
Damien :
– Vas y Matt, dit lui !
Ils rigolent tous les deux en se renvoyant la balle plusieurs fois, jusqu’à ce que Damien se jette à l’eau :
– On voit tout à travers ton maillot !
Moi qui fait la fille surprise et gênée :
– Tout quoi ?
Matt en rigolant prends la parole :
– Tes seins, et surtout en bas, on voit grave tes poils et même ton sexe, franchement on voit tout !
Damien pointant du doigt mes poils qui dépassent du maillot, en se tenant à même pas deux centimètres de moi :
– Regarde ça dépasse même !
J’étais extrêmement gênée et confuse, je ne savais pas quoi répondre ou quoi faire. Je prends les devants et je retourne me baigner, suivi de Matt et Damien. Ils se dirigent dans le coin jacuzzi, qui est dans la même eau que le bassin, et je les suis. Célia me rattrape avec Cindy et Jean, alors que j’avançais en marchant dans le bassin.
Jean :
– Donne ta culotte !
Moi :
– De quoi, non !
Cindy :
– Si salope donne ta culotte !
Célia :
– Dans l’eau personne verra !
Une nouvelle fois très excitée, avec quand même la peur au ventre, je me demande comment tout ça va finir, quand je sens qu’on m’agrippe ma culotte, elle descend maintenant le long de mes jambes et Cindy plonge aussi sec pour la récupérer. Me voilà cul nue dans la piscine avec l’eau au niveau de ma poitrine qui aide pas pour maintenir mon haut en place, entourée par mes trois amis. Jean a glissé sa main entre mes cuisses et me caresse, il sait vraiment très bien y faire, il m’accompagne jusqu’au jacuzzi ou sont mes deux camarades, ils disent bonjour rapidement et repartent. Je pensais qu’ils resteraient, mais non ils s’éloignent avec ma culotte. Je grimpe sur cette petite marche immergée pour rentrer dans le jacuzzi, je le fais en me traînant pour ne pas avoir à sortir mon corps de l’eau. Je m’installe toujours en me traînant à côté de Matt qui c’est décalé pour me faire une place, heureusement grâce aux bulles on ne voit rien. Encore une fois je sens sa jambe toucher la mienne, est ce involontaire ? On parle un peu, mais j’ai du mal à rester naturel, et à ce moment il pose sa main sur ma cuisse, c’est fait de façon amical, mais c’est fait. Je ne sais plus quoi penser, à part que sa main est placé très haut et qu’à tout moment si il bouge un peu, il risque de toucher mon sexe nu. Damien regarde sa montre et nous dit qu il vas devoir partir, Matt est venue avec lui, donc forcément il va le suivre, sûrement pour se rincer l’œil.
Matt :
– Tu viens avec nous à la douche Julie ?
Alors que je n’ai pas le temps de répondre, mes amis refont surface, ils se rapprochent et se posent avec nous quelques secondes, avant que Matt et Damien se lèvent. En se relevant Matt prend appuie sur ma cuisse et sa main glisse doucement entre mes jambes, il est sur mon sexe et continue de se lever en enlevant doucement sa main et en me regardant avec des grands yeux. Je le fixe sans rien dire, et je les regarde s’éloigner.
Cindy :
– Pfffffff, tu t’es même pas fait griller la chatte à l’air à la piscine municipal, t’as eu chaud salope !
Je pensais sincèrement qu’ils étaient aller trop loin, pourtant j’étais énormément excitée et je n’ai rien osé dire.
Célia en me donnant ma culotte :
– Tiens t’as mérité de la récupérer !
Une fois ma culotte enfilée, ont part à la douche. Et après s’être lavé, on se dirige vers les vestiaires. Je demande mes affaires et Célia qui me répond de ne pas m’inquiéter, d’attendre nue dans le vestiaire. Intérieurement je suis bouillante, que vont ils me faire faire encore ?
Cindy :
– Enlève ton maillot et donne le par dessous !
Encore une fois je me mes nue sans discuter et je donne mon maillot. Plus un bruit quand tout à coup ça tape sur la porte, la deuxième celle qui donne dans l’entrée, j’entends une grosse voix masculine ordonner :
– Ouvrez !
Moi :
– Mais je….
La grosse voix masculine sur un ton menaçant :
– Ouvrez tout de suite !
J’ouvre timidement la porte en me cachant timidement derrière, je passe juste la tête mais je ne vois pas cette personne qui me parle, je referme tout tout doucement la porte :
– Ouvrez cette porte en grand !
J’imagine qu’on a du se faire griller, et j’ouvre donc cette porte en grand, je suis dans ma cabine porte ouverte, entièrement nue, je me cache avec mes mains, mais je ne vois personne, j’avance timidement et la :
– BOUUUUUU !!!!
C’était Jean qui c’était amusé à me faire peur. Il rigole à en pleurer alors que moi je suis toujours sous le choc, j’ai bien cru faire une crise cardiaque. Mes bras tombent naturellement le long de mon corps, abasourdie, je me cache même plus alors que ma porte est toujours grande ouverte. Jean s’approche de moi, m’embrasse tendrement sur le front et me rend mes affaires. Je m’habille, impossible de mettre mes sous-vêtements trempée, temps pis. Une fois dehors, il est presque 19h30 et Jean propose de se faire un petit MacDo, c’est lui qui invite. Une fois sur place, on mange en rigolant, en parlant de tout de rien, de ce que j’avais fait etc. On sort , on se dit bonsoir et je m’installe dans ma petite voiture quand Jean viens toquer à mon carreau :
– Tu as cinq minutes ?
Cindy et Célia sont déjà partie, l’occasion est trop bonne. Cet homme virile, qui me fait tant fantasmer, l’avoir vu en maillot, son corps est aussi beau que ce que j’imaginais, grand carré, bien musclé genre bûcheron.
Moi :
– Oui bien sur !
Il fait le tour de la voiture et viens s’asseoir côté passager, il pose délicatement sa main sur ma cuisse et la frotte légèrement :
– Tu as été bien mignonne encore aujourd’hui, ça t’as plus ?
Moi déjà en extase alors que sa main caresse simplement ma cuisse :
– Oui…
Jean :
– Tu n’as pas jouis par contre, tu veux jouir ?
Moi les yeux plongés dans les siens :
– Oui…
Jean :
– Ok suis moi, je connais un coin tranquille !
Il passe sa main entre mes cuisse et me tapote par dessus mon pantalon ma petite chatte. Il sort de la voiture et se dirige vers la sienne.
Je le suis jusqu’à un petit chemin au bord de la Loire, effectivement à part deux ou trois voitures au début du chemin, qui étaient vides et en stationnement, il n’y avais l’air d’avoir personne. On se gare tout au bout du chemin, et je sors de ma voiture pour le rejoindre, il doit être 20h30 environ. En regardant Jean toujours dans sa voiture je me demande ce que je dois faire, comment m’y prendre ? Il sort, me regarde et il me dit de me mettre nue, je tombe mes vêtements, il les ramasse et les poses sur son siège. Il m’attrape par la taille et m’emmène à ma voiture :
– Enfonce toi ton levier de vitesse dans ta chatte !
Je réfléchi pas longtemps, je rentre dos au pare-brise, accroupi sur mon siège, pose un pied sur le deuxième, et descend doucement, Jean lui monte à l’arrière et après avoir un peu galéré, il arrive à enlever les deux appuis tête :
– Vas y, pose tes pieds ici !
Il me fait mettre mes pieds à la place des appuis tête, cette position m’oblige à m’asseoir sur le pommeau, et je ne peux plus contrôler sa pénétration, il est très gros et j’ai du mal à ne pas crier. Jean se penche sur ma chatte et commence à bien lui faire de l’effet en la caressant, je ne suis pas loin de jouir. Il s’arrête, défait sa ceinture et la retire complètement du pantalon, puis il le déboutonne. Cette fois c’est bon , je vais avoir le droit à sa queue, je suis aux anges. Il reprend ses caresses puis s’arrête à nouveau, après avoir fait remonter la température. Je le regarde attraper un appuie tête et le remettre en place avec ma cheville en dessous, et faire pareil avec le deuxième, mes jambes sont bloquées. Il descend et reviens à l’avant , il m’attrape les mains et me les attache fermement au volant avec sa ceinture. Il reprend ses caresses sur ma petite chatte bouillante qui est prête à exploser, quand il me fait l’honneur d’y passer sa langue, quelque instants. Une où deux minutes de rêve pas plus, puis il s’arrête, allume mon plafonnier alors qu’il ne fait pas encore nuit même si le jour ce couche. Puis il sort , claque ma portière et ferme ma voiture à clef. Je le vois remonter dans sa voiture et partir m’abandonnant sur place à mon sort.
Ça fait bien maintenant vingt minutes qu’il est parti, j’espère juste qu’il est dans le coin et qu’il surveille, au fond j’essaye de m’en convaincre. Une voiture arrive, faite que ce soit Jean, avec les phares j’arrive pas à voir ce que c’est comme voiture, j’essaye de bouger mais tout ce que j’arrive a faire, c’est m’empaler un peu plus profond sur mon levier de vitesse. Plus elle se rapproche, plus mon cœur s’accélère, et la bingo, c’est pas la voiture de Jean. La voiture roule et s’arrête en face de moi et met les plein phares en ma direction, je vois quasiment rien, je distingue à présent deux silhouettes en sortir. Elles se rapprochent, c’est Célia et Cindy, quel soulagement, c’est Jean qui a du les prévenir forcément. Elles s’approchent , me prennent en photo sous plusieurs angles, et je vois Cindy chercher dans son sac et me montrer à présent les clefs de ma voiture. Elle ouvre la portière et la laisse ouverte en grand avant de repartir en me souhaitant une bonne soirée.
J’attends encore un bon quart d’heure dans cette position, en flippant dès que j’entends une voiture passer sur la route au bout du chemin, ça me semble interminable. Quand une voiture arrive, il s’agit bien de Jean, soulagement. Il remonte à l’arrière et retourne me lécher ma chatte, il fait cela de façon exquise, il me soulève légèrement les fesses, pour mieux me redescendre, je prend le rythme toute seule et bouge en me tortillant sur mon pommeau de vitesse, au bout de quelques minutes c’est l’orgasme. Jean récupère sa ceinture et enlève les appuis têtes, je suis libre, je me relève doucement laissant sortir le pommeau de vitesse de ma chatte. Je sors de la voiture pour me détendre les jambes, je suis toujours nue et Jean refuse de me rendre mes vêtements. Je reste donc nue sans protester une seule seconde, faut dire que je commence à m’habituer, je fais les cents pas pendants qu’il fume sa cigarette, une fois au bout il la jette du bout des doigts, et me dis autoritaire :
– Allez à quatre pattes salope !
Je m’exécute en plein milieu du chemin, il s’approche, me caresse le sexe puis doucement m’enfonce quelque choses dans mon anus. C’est pas très gros, mais encore une fois je ne trouve aucun plaisir dans cette pratique :
– A demain salope, viens après les cours chez Célia !
Il monte dans sa voiture et démarre, alors que je suis toujours au sol à quatre pattes, je vois sa voiture s’éloigner alors que je me relève doucement. Je porte ma main à mes fesses et j’enlève cette objet qui pendouille, il s’agissait de mes clefs de voiture, il avait enfoncé le porte clef. Une fois ma voiture ouverte, je cherche à l’intérieur mes vêtements, devant, à l’arrière, rien. Je vais vers mon coffre sans trop y croire, l’ouvre et effectivement, il n’y a rien, même mon sac de piscine n’est plus là.
Je démarre donc entièrement nue, alors que je suis à trente minutes de chez moi, j’arrive au bout du chemin et je vois mon t-shirt accroché au panneau, je descend et l’enfile avant de reprendre la route. Je fais environ six cent mètre et j’arrive au premier rond point, une voiture est garée juste avant, avec les feux de détresses, j’hésite à faire demi tour, j’espère que c’est Jean. Mais pas du tout, c’est deux hommes qui changent la roue de leur voiture .
Alors que je ralentie pour prendre le rond point, j’aperçois au milieu de celui ci sur une espèce de structure en bois qui représente je ne sais quoi, mon pantalon. A peine engagée, je me stoppe juste devant leur voiture, je regarde dans mon rétro et je les vois regarder dans ma direction, j’allume mon plafonnier et fait mine de téléphoner et ça marche, en vérifiant dans mon rétro je vois qu’ils ont repris leur réparation. Prenant une grande respiration, j’ouvre sans bruit ma portière et traverse la route, pour me rendre sur la rond point, j’approche de la structure quand j’entends :
– Regarde, regarde !
Je tends les bras pour attraper mon pantalon, mais Jean est plus grand que moi et a réussi à le percher plus haut. Je saute un coup, alors que j’entends rigoler, je le touche mais il tombe pas, une deuxième impulsion et c’est la bonne, mon pantalon reste dans mes mains, je me retourne et rejoins ma voitures sous les rires des deux apprentis mécano, qui me balance une remarque sur mes poils :
– Putain t’as vu sa touffe !
Je remonte très rapidement en voiture sans remettre mon pantalon et démarre aussi sec., je me gare quelques centaines de mètres plus loin, et sort pour remettre mon pantalon avec plus d’aisance. Après avoir fait quelques kilomètres, me voilà à mon parking, je me gare et fait le chemin qui mène jusqu a chez moi. Une fois le parc traversé, je fais un léger détour pour ne pas retomber sur les trois clodos, je suis trop ko, et je sais que j’aurais du mal à dire non, ce soir c’est direct à l’appartement et dodo.
Je m’endors rapidement légèrement humide en repensant à tout ça, et en imaginant ma journée de demain, que vais je donc dire à Matt, s’il me parle de l’absence de mon bas dans le jacuzzi, et est ce qu’il en a parlé à Damien? Je pourrais peut être dire qu’il a glissé et que j’ai rien senti, non c’est débile.
Mon réveil sonne il est 6h30, je me lève bien fatiguée, et je me prépare pour affronter cette nouvelle journée.

Récit de Seeyou.

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