Geneviève et Gabrielle sont cousines. Elles ont à peu près le même âge et sont toutes deux ravissantes. Elles ont passé une bonne part de leur enfance réunies dans le château de famille du comte de Zorimba, le père de Geneviève.
Elles ont fait ensemble à peu près tout ce que deux fillettes vives et imaginatives peuvent accomplir : petits larcins, farces en tous genres, courses effrénées dans les champs, chasse aux grenouilles et aux petits rongeurs, parties de cache-cache, etc. Il en est résulté une grande complicité que, malheureusement, la séparation est venue interrompre. Elles ne se sont plus vues pendant de longues années. Et puis soudain, à l’improviste, Gabrielle a reçu un coup de fil de Geneviève qui a réussi a retrouver sa trace. Elle est en ville, elle a appelé tout de suite, elle va arriver. Gabrielle est toute heureuse à l’idée de revoir enfin sa grande amie d’enfance, sa complice qu’elle croyait perdue. Elle s’est faite belle pour lui faire honneur. Elle attend, le cœur battant, le coup de sonnette de Geneviève.
Vêtements et accessoires
Pour Geneviève : mini-jupe, tee-shirt, pull à col roulé.
Pour Gabrielle : robe décolletée, se boutonnant sur l’avant.
Dialogue
On sonne, Gabrielle se précipite, ouvre la porte et reste pétrifiée devant le spectacle qui s’offre à elle : une superbe créature est là, debout devant elle, souriante et radieuse.
GABRIELLE : Geneviève ?… c’est… c’est toi ?
GENEVIÈVE, se jetant dans les bras de Gabrielle : Ma Gaby, quel bonheur ! (Elle la serre dans ses bras.) Après tout ce temps ! (Elle s’écarte pour mieux contempler sa cousine.) Comme tu as changé ! (Elle ressent un forte émotion, d’une nature indéfinissable, mais dont elle sent qu’elle n’a qu’un vague rapport avec le plaisir, bien réel, des retrouvailles.) Tu n’es plus une petite fille, dis donc ! (Elle ne peut s’empêcher de fixer l’opulente poitrine que révèle le généreux décolleté de la robe de Gabrielle qui rougit sous ce regard explorateur.)
GABRIELLE, troublée : Attends, que je me remette ! Qu’est-ce que tu as changé toi aussi ! (Elle mange sa cousine des yeux, admire le dessin parfait de ses jambes sculpturales, le velouté de sa peau de pèche, les rondeurs qui gonflent avantageusement le pull-over, laissant deviner une poitrine imposante.) Mais tu es superbe !
GENEVIÈVE : Tu me flattes, c’est toi qui es à croquer !
GABRIELLE : Allez, viens t’asseoir ici, et raconte-moi tout !
Elle entraîne Geneviève vers un petit canapé
où elles s’installent toutes deux.
GENEVIÈVE : Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse de t’avoir retrouvée. Ça faisait si longtemps que je n’avais pas pu parler à quelqu’un qui me connaisse bien, qui me connaisse vraiment : depuis toute petite !
GABRIELLE : Moi aussi, ça me fait bien plaisir ! Si tu savais combien de fois j’ai pensé à toi, à nous, à nos parties de campagne, à nos balades, à nos facéties, à nos fous rires…
GENEVIÈVE, riant : Tu te souviens le jour où on avait attaché ensemble les lacets d’Émile pendant qu’il faisait sa sieste dans le fauteuil de la véranda ?
GABRIELLE, riant aussi : Le chauffeur ? Tu parles, le vol plané qu’il s’est payé en se levant !
GENEVIÈVE : Et quand on s’était cachées au grenier le jour du gros orage là, tu te souviens ?… c’était à la fin juin.
GABRIELLE : Qu’est-ce qu’il faisait étouffant ! On était bien, hein ?
GABRIELLE : Oui ! Personne n’a pensé à venir nous chercher dans le vieux panier à linge.
GENEVIÈVE, que commence à gagner une sourde excitation prémonitoire : On s’était blotties là, l’une contre l’autre…
GABRIELLE, sentant le danger d’évoquer ce souvenir précis : Oui, on… on s’était bien amusées ! (Elles se regardent un instant dans les yeux, soudain graves.) Tu me serrais si fort !
GENEVIÈVE : J’avais tellement peur que la foudre nous tombe dessus !
GABRIELLE, gênée, mais ne pouvant s’empêcher d’évoquer le passé : Quand tu as commencé à m’embrasser, je…
GENEVIÈVE, embarrassée : Arrête ! On était des gamines… c’était innocent !
GABRIELLE : N’empêche, ça m’a fait un sacré effet.
GENEVIÈVE : Oui, je me souviens, tu es devenue toute rouge et puis tu t’es ressaisie et tu t’es mise à me caresser.
GABRIELLE, mi fâchée, mi amusée : Menteuse, c’est toi qui a commencé !
GENEVIÈVE : En tous cas, tu me les rendais bien, mes caresses !
GABRIELLE : D’accord, mais c’est toi qui es allée explorer mon petit trou !
GENEVIÈVE, que ces propos mettent en émoi : Tu étais si douce, si chaude, si innocente !
GABRIELLE : Je me suis laissée faire…
GENEVIÈVE : Oui, et puis tu t’y es mise aussi !
GABRIELLE : C’est vrai ! On s’est caressées pendant longtemps !
GENEVIÈVE : C’était bon !… Tu y étais allée résolument avec ton doigt !
Elles se regardent à nouveau, gênées.
GABRIELLE : Tu… tu n’a jamais eu envie de recommencer ?
GENEVIÈVE : Euh… eh bien oui, mais, l’occasion ne s’est plus présentée. Je ne sais même plus pourquoi nos parents se sont disputés.
GABRIELLE : C’est loin tout ça ! (Attristée, elle laisse tomber sa tête sur l’épaule de Geneviève qui lui caresse tendrement les cheveux.) Comme j’ai pleuré quand tu es partie.
GENEVIÈVE : Et moi donc ! J’ai cru qu’on ne se reverrait jamais.
GABRIELLE, se redresse et fixe Geneviève : Mais tu es là maintenant ! On ne se séparera plus, n’est-ce pas ?
GENEVIÈVE : Non ! Promis ! Mais… ça risque de ne pas être aussi simple !… Il n’y a personne dans ta vie ?
GABRIELLE : Mon mec m’a lâchée il y a de ça trois mois. Je n’ai aucun regret, figure-toi ! Il ne m’aimait pas vraiment, je le sais maintenant : il prenait son pied, vite fait, et puis fini !
GENEVIÈVE : Ce n’était pas le genre raffiné !
GABRIELLE : Tu parles ! Il était beau, il avait l’air tendre… Qu’est-ce que j’ai pu être conne ! Il ne me caressait même pas, il me sautait comme une bête et puis il me laissait là pantelante, inassouvie…
GENEVIÈVE : Ma pauvre biche, il y en a des tonnes dans ce genre, tu sais !
GABRIELLE : Oui !… Et toi ? Tu es avec quelqu’un ?
GENEVIÈVE : Je m’aperçois que je n’ai pas eu plus de chance que toi ! Séduite aussi par un beau brun, grand et fort, j’ai vite déchanté : un macho prétentieux et expéditif. Il ne sait même pas ce que c’est une femme, ce qu’elle aime, ce qui lui fait plaisir. Quel con ! Que de temps perdu ! Je l’ai plaqué le mois dernier !
GABRIELLE : Eh bien ! nous voilà propres… (Curieuse.) Et… depuis ?… plus rien ?
GENEVIÈVE : Non !… Enfin presque.
GABRIELLE : Qu’est-ce que tu veux dire ?
GENEVIÈVE, qui regrette de qu’elle vient de dire : Eh bien, un peu après avoir largué ma grande brute, je suis allée m’acheter des fringues en ville, je voulais un truc original, mais de bonne qualité. J’ai tout de suite remarqué que la vendeuse me regardait d’un drôle d’air, en réalité, elle me mangeait des yeux.
GABRIELLE, très intriguée, déjà jalouse : Qu’est-ce qu’elle te voulait ?
GENEVIÈVE : Je n’ai pas mis longtemps à m’en apercevoir ! Je lui plaisais, c’est tout !
GABRIELLE : Tu veux dire une…
GENEVIÈVE : Oui, c’est ça !
GABRIELLE, un rien inquiète : Et… elle était chouette ?
GENEVIÈVE : Plutôt oui ! Grande, du genre sportif, avec une abondante chevelure rousse. Elle avait de beaux yeux en amande, d’un bleu très pâle. Elle portait une mini jupe super courte, et on comprend pourquoi : elle avait de ces jambes !
GABRIELLE, qui sent monter en elle une colère sourde et incontrôlable : Et alors, qu’est-ce qui s’est passé ?
GENEVIÈVE, mal à l’aise : Eh bien, je suis entrée dans la cabine d’essayage avec les fringues que j’avais choisies, et puis elle est venue voir si tout se passait bien…
GABRIELLE, impatiente : Ensuite ?
GENEVIÈVE : Je venais juste d’enlever un chemisier de soie que j’avais essayé et qui me plaisait bien ; j’étais en soutien, et j’ai vu son regard plonger vers ma poitrine. Elle est devenue toute rouge.
GABRIELLE, inquiète : Et toi ?
GENEVIÈVE : Je reconnais que j’étais plutôt troublée, c’est qu’elle était drôlement belle, la garce ! (Geneviève se rend compte qu’elle commence à s’exciter.) Alors…
GABRIELLE, d’une voix sourde : Alors quoi ?
GENEVIÈVE : Je n’ai pas résisté : elle s’est approchée de moi, sans rien dire, m’a regardée d’un air gourmand, a commencé à déboutonner son chemisier tout en glissant sa jambe entre mes cuisses.
GABRIELLE, furieuse : Et tu l’as laissée faire ?
GENEVIÈVE, honteuse et surprise par la soudaine colère de sa cousine : Euh… eh bien oui, c’était plutôt agréable, tu sais ! Mais… mais qu’est-ce que tu as ? Ce n’est pas la peine de te mettre dans cet état…
GABRIELLE, fond en larmes : C’est dégueulasse ! Hii hiiii ! Comment as-tu pu faire une chose pareille ? Hi hiii ! (De nouveau en colère.) Salope !
Éperdue, en furie, Gabrielle se précipite sur sa cousine et va pour la griffer au visage. Rapide, Geneviève lui attrape les poignets au vol et la maintient fermement. Dans le mouvement, leurs poitrines entrent en contact. Geneviève se rend compte que la chose lui procure un émoi intense et immédiat : elle sent son bas-ventre s’embraser. Pour neutraliser Gabrielle qui ne se calme pas, elle la force à s’étendre sur le canapé.
GABRIELLE, en pleurs : Laisse-moi, je te déteste !
Pour se débattre, Gabrielle secoue la tête de droite et de gauche.
Geneviève ne peut s’empêcher de contempler l’opulente poitrine de
sa cousine qui manque jaillir du décolleté à chaque mouvement brusque.
GENEVIÈVE, très émue : Gaby, Gaby, je t’en supplie, calme-toi. (Elle lui lâche les poignets et la serre dans ses bras.)
Gabrielle se blottit sur la poitrine de sa cousine. Elle sent aussitôt une forte chaleur remonter de son sexe vers son visage. Elle réalise qu’elle prend un plaisir aussi intense que coupable à appuyer ainsi sa tête sur la poitrine ronde et ferme de Geneviève. Très troublée, les joues baignées de larmes, elle balbutie :
GABRIELLE : Oh ! Geneviève, je ne sais pas ce qui m’arrive… je…
GENEVIÈVE, que le trouble de sa cousine émeut encore d’avantage : Tais-toi, petite cousine, petite sœur, hhh… ma Gaby, hhh… mon trésor… (Elle se met à lui caresser tendrement les épaules, puis le dos, tout en lui bécotant le visage.)
Gabrielle se redresse, regarde un instant Geneviève dans les yeux, réalise à quel point elle est émue, laisse tomber son regard sur le pull que soulève rythmiquement la poitrine de sa cousine. Elle sent son entrejambe se mouiller d’un coup. Fascinée par le mouvement des globes qui se soulèvent et redescendent, elle s’empare soudain d’un sein qu’elle se met à pétrir fortement à travers la laine du pull, en proie à une émotion intense.
GABRIELLE : Geneviève, ma chérie, oh ! Hhh… Qu’est-ce qui se passe ? hhh…
GENEVIÈVE, excitée autant que surprise : Gaby, hhh… je ne sais pas… je… ma Gaby, mon trésor, je…hhh… hhhh…
Brusquement, Gabrielle s’empare de la tête de Geneviève, l’attire à elle et va écraser ses lèvres sur les siennes. À l’ultime seconde, elle retient son mouvement. Les lèvres s’effleurent, l’excitation monte d’un cran pour toutes deux. Elles se regardent dans les yeux, intensément. Gabrielle sent l’excitation de Geneviève qui respire de plus en plus fort, elle perçoit une odeur poivrée qui lui monte aux narines et l’enivre. Le regard de Geneviève surprend les narines de Gabrielle qui frémissent d’excitation. Elle approche ses lèvres qui entrent en contact avec celles, toutes tremblantes, de Gabrielle. Elle sent un délicieux frisson lui parcourir l’échine. Avidement, elle enfonce sa langue dans la bouche consentante de sa cousine qui répond aussitôt. Un chassé croisé infernal s’engage entre les deux langues qui se poursuivent, se trouvent, se repoussent, s’immobilisent, puis repartent de plus belle. Geneviève se met à mordiller les lèvres de Gabrielle qui gémit de plaisir, puis elle s’écarte. A son tour, Gabrielle cherche à mordre la lèvre inférieure de sa cousine qui se retire. Gabrielle insiste, et Geneviève finit par se laisser faire. S’ensuit un nouveau baiser, long et sensuel.
GABRIELLE, très excitée : Geneviève, hhh… qu’est-ce qui nous arrive ? hhh… Dieu que tu es belle ! hhh… Je n’avais jamais ressenti ça auparavant ! Ah… Je suis… hhh… je suis toute excitée. Hhh…
GENEVIÈVE, qui passe sa langue sur ses dents : Moi aussi ! Je mouille, tu m’excites, hhh… laisse-moi te caresser.
GABRIELLE : Oh oui, hhh… hhh… caresse-moi. Hhh… (Elle fait le geste de déboutonner sa robe.)
GENEVIÈVE : Attend ! (Elle lui prend les poignets, les place sur ses cuisses, et se met à déboutonner elle-même la robe de Gabrielle.)
Gabrielle se met à haleter, elle caresse lentement les cuisses sculpturales de Geneviève qui sent une bouffée de chaleur lui monter au visage au moment où elle voit apparaître les seins de Gabrielle, enserrés dans leur soutien-gorge.
GENEVIÈVE : Que tu es belle ! (Elle se met à masser l’opulente poitrine de Gabrielle qui se cambre sous les caresses.) Ahh ! hhh….ohh…
Gabrielle soulève le pull de Geneviève par-dessus ses épaules. La vue du tee-shirt tout gonflé accroît encore son excitation. Fébrilement, elle arrache le tee-shirt et le soutien-gorge, et se met aussitôt à pétrir les seins de Geneviève qui ferme les yeux et gémit de plaisir. Elles se roulent toutes deux sur le sol, en proie à une folle excitation. Elles se frottent l’une contre l’autre, s’écrasant mutuellement les seins, cherchant le contact de leurs vulves.
GABRIELLE, tendant ses seins vers la bouche de Geneviève : Oh ! lèche-moi, hhh… lèche mes seins ! Hhh… Mmmh… Écrase-les ! Hhh… Pétris-moi, hhh… je suis ta pâte !
GENEVIÈVE : Attend ! Je vais te faire du bien !
Geneviève s’agenouille entre les jambes écartées de Gabrielle et entreprend de lui masser doucement la poitrine. Elle accentue progressivement la pression de ses mains, se met à pétrir les seins frémissants, puis à les malaxer fermement. Gabrielle couine de plaisir. Geneviève se met à titiller la pointe des seins qui se durcissent aussitôt, puis elle commence à lécher les globes à grands coups de langue gourmands. Gabrielle dispose ses mains de part et d’autre de ses seins pour mieux les offrir aux caresses de Geneviève qui s’empare des bouts et se met à les étirer, arrachant à Gabrielle des gémissements de plaisir.
GABRIELLE : Encore, encore ! Oh, que c’est bon !
Délaissant les seins, Geneviève parcourt maintenant le ventre de Gabrielle à petits coups de langue fermes et répétés. Elle écrase ensuite sa langue sur l’abdomen, laisse couler un peu de salive de sa bouche, puis lèche goulûment toute la surface du ventre de Gabrielle qui se trémousse.
GABRIELLE : Ah ! ah ! ah ! que c’est bon ! Ah ! hhh…
Geneviève plonge alors vers le sexe de Gabrielle, elle lui écarte les cuisses, se met à lécher avidement les fesses rebondies, puis, se rapprochant de la chatte, se met à boire le liquide amer et poivré qui suinte d’abondance.
Elle introduit ensuite son doigt dans sa bouche, l’imprègne consciencieusement de salive et le lui enfonce dans le vagin.
GABRIELLE : Oh ! ah ! ah ! Hhh… c’est bon, hhh… continue !
Geneviève titille furieusement le bouton de Gabrielle qui se met à jouir, répandant une odeur forte et d’abondantes sécrétions que Geneviève lèche goulûment puis avale avec délectation.
GENEVIÈVE, se léchant les lèvres : Ma Gaby, que tu es bonne !
GABRIELLE, encore toute pantelante : Attend, hhh… tu vas voir, toi ! Hhh… Couche-toi !
Geneviève s’étend sur le sol. Gabrielle se glisse entre ses jambes, lui caresse les genoux, puis le bas des cuisses, en de longs mouvements amples et souples ; elle remonte progressivement vers le haut des cuisses tout en augmentant la pression de ses mains, malaxant la chair frémissante de sa cousine qui a des hoquets d’excitation. Elle lui écarte les cuisses, se rapproche du sexe béant, l’effleure puis s’en écarte pour s’attarder sur le haut des cuisses. Geneviève se cambre pour mieux s’offrir, elle pointe son sexe vers les lèvres de Gabrielle qui, brusquement, s’empare des fesses de Geneviève et entreprend de les pétrir avec une sorte de rage. En même temps, elle plonge sur la vulve ruisselante et commence à mordiller les lèvres, puis à les lécher à grands coups de langue gourmands.
GENEVIÈVE, éperdue : Ah ! aah ! que c’est bon ! Viens, montre-moi encore ton beau cul ! Oh ! oh ! oh ! comme j’ai envie de te bouffer la chatte, de te lécher tout partout, de… de… ah !
Gabrielle enjambe le corps de Geneviève et vient se placer au-dessus d’elle, offrant ses fesses à ses regards enamourés. Elle s’assied sur la bouche de sa cousine qui recommence à lécher ses lèvres ruisselantes. Geneviève malaxe les fesses de Gabrielle et l’attire encore d’avantage à elle pour mieux pénétrer le vagin dégoulinant. De son côté, Gabrielle a fourré sa langue dans l’orifice brûlant de Geneviève, et s’est mis à lui agacer le clitoris par une série très rapide de petits coups de langue, pendant qu’elle lui enfonce un doigt dans le cul. Geneviève se met presque aussitôt à jouir, se raidissant et répandant des jets brûlants de cyprine que Gabrielle engloutit avidement, les narines frémissantes afin de mieux s’imprégner de leur odeur poivrée. Elles se blottissent l’une contre l’autre, se serrant très fort, comme deux animaux apeurés.
Proposée par Bilitis